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 Final Fantasy Fables : Chocobos Tales

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AuteurMessage
Jyuushiro Ukitake
Genin
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Jyuushiro Ukitake


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MessageSujet: Final Fantasy Fables : Chocobos Tales   Final Fantasy Fables : Chocobos Tales Icon_minitimeLun 30 Nov - 14:23

Chocobos Tales


Je vous présente aujourd'hui, un jeu dont je ne me lasse pas de jouer. Ce jeu fait partie de l'innombrable saga des Final Fantasy dont la renommée est maintenant bien plus que planétaire. Qui n'a jamais vu un oiseau au plumage jaune dans les jeux de la saga ? Les premiers chocobos apparaissent dans Final Fantasy III et qui depuis ne cessent d'apparaitre. Ce jeu est différent des autres Final Fantasy. En effet, cela n'a rien à voir avec un RPG de ce rang mais ressemble plus à un jeu de détente adapté pour les jeunes enfants. Les Chocobos étaient à la base d'adorables petits volatiles jaunes semblables à de grosses peluches. Élevé au rang de mascotte de la saga Final Fantasy, cet animal sympathique est une espèce en danger qu'il convient de protéger.

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Voilà typiquement un jeu qu'on lance d'abord seulement avec une pointe de curiosité, et qui vous entraîne sans prévenir dans un univers chatoyant de couleurs où l'on perd toute notion du temps. Franchement, si tant est que vous ayez quelques heures à consacrer à un titre sans prétention, ce Chocobo Tales mérite tout votre intérêt et vous surprendra par son caractère diablement addictif. Chocobo Tales nous propose de retrouver ce volatile charismatique sous la forme rondouillarde et sympathique qui était la sienne à l'origine. L'univers est résolument naïf et bardé de couleurs pastel, le thème étant axé sur le monde des fables et des contes de fées dans lequel on pénètre par le biais de livres qui se déplient sous vos yeux.

es habitants de l'île des Chocobos ne sont pas tous des animaux à plumes. On retrouve ainsi les adorables petits mages blanc et noir, Shirma (shiro = blanc) et Croma (kuro = noir), mais aussi le Béhémoth et toute la bande des gentils Chocobos. Le Mog joue ici un rôle tout particulier puisque son ego surdéveloppé le pousse à se prendre pour un justicier masqué plutôt kitsch. Quant aux invocations et aux monstres caractéristiques du bestiaire de Final Fantasy, on les retrouve plutôt du côté des duels de cartes sur lesquels je reviendrai un peu plus loin. L'histoire a ce petit quelque chose d'attachant qui nous fait oublier sa simplicité et sa redondance, puisque la quête pourrait se résumer à une vaste chasse aux livres de contes dans lesquels sont enfermés vos amis aux regards vides. A l'origine de leur disparition et du chaos qui règne sur l'île, un livre magique mégalomane nommé Bebuzzu tente de rassembler la puissance qui lui permettra de se réincarner dans un corps un peu plus imposant que ce vieux grimoire poussiéreux. Au fil de votre progression, vous serez donc régulièrement confronté à son acolyte Irma, une sorcière hargneuse et ambitieuse, et à ses sbires, les Chocopabos qui sont des chocobos possédant un plumage de couleur autre que le jaune. Majoritairement, ce sont des Noirs.

Le déroulement se fait à la manière d'un jeu d'aventure qui vous ouvre ses portes à mesure que vous découvrez des éléments permettant de faire avancer l'histoire. Pour schématiser, il suffit généralement de se balader dans les différents environnements de l'île pour découvrir de nouveaux grimoires qui mènent à des défis qu'il vous faut remporter pour faire avancer le scénario. Les mini-jeux prennent donc une place assez importante au sein de l'aventure, mais leur présentation est au moins aussi originale que leur déroulement. Entièrement jouable au stylet, le soft s'inspire de contes relativement connus et les détourne pour les transformer à la sauce Final Fantasy. Après avoir pris connaissance du prologue d'un de ces livres, vous devrez débloquer différents épilogues en réussissant les différentes étapes du mini-jeu qui lui est associé. Ce dernier offre généralement une variante vous opposant aux affreux Chocopabos, et c'est seulement en terminant les épreuves dans leurs niveaux de difficulté les plus élevés que vous pourrez débloquer tous les bonus que renferme ce livre. A ces mini-jeux principaux s'ajoutent un certain nombre de micro-jeux que vous pouvez dénicher en fouillant les environnements de l'île, sans oublier les nombreux services que pourront vous rendre les Chocobos déjà libérés. Alors même si le monde du jeu n'est pas très vaste, sa construction donne envie d'en voir toujours plus, d'acquérir un maximum de choses et de se surpasser pour mener à bien des challenges qui ne sont pas toujours des plus évidents. Leur variété relance d'ailleurs beaucoup leur intérêt, puisqu'on y trouve aussi bien des épreuves de dextérité que de réflexion ou de rapidité.

Assez rapidement au cours de l'aventure, le Mog vous remettra un deck de base comprenant vos toutes premières cartes, et vous expliquera en détail les règles de ce système de duels basés sur les comparaisons de puissance entre les cartes. Plus riche qu'il n'y paraît à première vue, le concept fait intervenir quelques subtilités intéressantes, comme la couleur des cartes qui permet de cumuler des cristaux indispensables au déclenchement des techniques spéciales propres à certaines cartes. La résolution des tours de jeu est illustrée de fort belle manière, puisque les créatures invoquées se matérialisent sur l'écran supérieur pour déclencher leurs attaques, très bien mises en scène. L'occasion d'admirer Odin, Shiva, Bahamut et toutes les invocations de la série dans leurs œuvres, sans oublier la plupart des monstres issus du bestiaire légendaire de Final Fantasy, comme les Bombos ou les Xylomids. Il est clair que ce sont surtout les vieux fans de la série de Square Enix qui apprécieront le plus les nombreux clins d'œil présents dans Chocobo Tales, dans le sens où le titre rend bien plus hommage aux premiers épisodes plutôt qu'à ceux sortis sur PS One, même si on retrouve quand même quelques échappés, à l'instar de ce diable de Caith Sith. Cerise sur le gâteau, la quasi-totalité des musiques sont des remix des tout premiers thèmes de la série, principalement issus de FF1, et apportent une touche de nostalgie qui devrait bouleverser les fans les plus sensibles.

Pour ma part, je passe énormément de temps à m'amuser sur ce jeu qui fait réellement retombé en enfance. une fois que j'y joue, je ne vois plus le temps passe; Tous ses instants avec mon copain à plumes me fait oublier à quel univers j'appartiens. Avec lui, je traverse d'innombrables dangers mais sans pour autant faire appel à la violence. Les musiques sont bien reprise et forme un ensemble harmonieux avec l'univers du chocobo. Dans ce jeu, le chocobo apparait comme un vrai ami à pattes. on le nourrit grâce à des pommes se trouvant à certains endroits. On joue avec lors des mini-jeu... Ce jeu à tout pour plaire sauf peut-être le graphisme mais ce ,n'est pas un jeu fait pour des consoles dont le graphisme est de très haut niveau. La nintendo DS n'est pas une console reconnu pour les graphismes mais bien pour sa capacité à être transporté sur soi.

Test disponible du jeu

Source: jeuxvideo.com
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